Les scientifiques sont connus pour croire à ce qui est prouvé, principe que les artistes rejettent bien souvent ; ils reconnaissent le correct et l’incorrect, là ou les artistes voient le vrai et le faux. Pourtant, chez certains, un apprentissage différent peut devenir le catalyseur d’innovations déclenchant passion et curiosité, les libèrent et leur permet de poursuivre—puis de mettre en œuvre—des idées mobilisatrices pour la culture, l’industrie, la société et la recherche.

Le livre de David Edwards “Artscience: Creativity in the Post-Google Generation” introduit l’idée d’innovation dans la nouvelle génération post-google, catalysée par ceux qui transgressent les limites conventionnelles, et fermement dressées entre les arts et les sciences, et invente le nouveau concept “artscience”.

L’auteur décrit tout au long de l’ouvrage les percées de certains créateurs dans le domaine des arts et des sciences, ceux qui développent leurs idées dans une zone intermédiaire de créativité humaine où ni l’art ni la science n’est facilement défini. Ces créateurs peuvent innover dans le domaine de la culture, comme par exemple dans le développement de nouvelles formes de composition musicale (par l’utilisation de la théorie de chaos). Ils peuvent également innover dans le secteur de la recherche, la société ou encore de l’industrie. Parfois, ils mènent à bien une seule idée dans des secteurs aussi variés que l’industrie, le social et le culturel, apprenant de ce fait à regarder les obstacles artscience comme une zone créative.

Disponible au Laboshop.

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